Peyrelevade (Corrèze)

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Peyrelevade
Peyrelevade (Corrèze)
La chapelle du Rat.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Ussel
Intercommunalité Haute-Corrèze Communauté
Maire
Mandat
Pierre Coutaud
2020-2026
Code postal 19290
Code commune 19164
Démographie
Gentilé Peyrelevadois, Peyrelevadoises
Population
municipale
828 hab. (2021 en augmentation de 3,63 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 18″ nord, 2° 03′ 18″ est
Altitude Min. 674 m
Max. 951 m
Superficie 66,43 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Plateau de Millevaches
Législatives Première circonscription
Localisation
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Peyrelevade
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Peyrelevade
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Peyrelevade
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Peyrelevade
Liens
Site web www.peyrelevade.correze.net

Peyrelevade (Peira Levada en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune du Massif central située sur le plateau de Millevaches dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 328 mm, avec 14,9 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 338,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records PEYRELEVADE (19) - alt : 827m, lat : 45°42'03"N, lon : 2°03'31"E
Records établis sur la période du 01-09-1965 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,9 −1,3 1 2,9 6,5 9,8 11,3 11,4 8,4 6,2 2,1 0 4,8
Température moyenne (°C) 2,2 2,4 5,4 7,7 11,5 14,9 16,8 16,9 13,4 10,3 5,5 3,1 9,2
Température maximale moyenne (°C) 5,4 6,1 9,8 12,6 16,4 20,1 22,2 22,4 18,5 14,3 8,8 6,2 13,6
Record de froid (°C)
date du record
−28,5
09.01.1985
−19
10.02.1986
−18,1
06.03.1971
−8,1
12.04.1978
−5,6
08.05.1982
−3,5
02.06.1975
−0,5
04.07.1970
−1
22.08.1982
−3,9
22.09.1977
−7,1
25.10.03
−13,7
22.11.1998
−18
11.12.1969
−28,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
18,2
01.01.22
22,9
27.02.19
23,1
14.03.12
26,1
09.04.11
29
22.05.22
35,4
29.06.19
35,8
23.07.19
36
12.08.03
32,7
04.09.23
30
08.10.23
24
02.11.1981
19,2
03.12.1979
36
2003
Précipitations (mm) 122,9 103,1 103,2 124 115,6 98,4 92 89,1 103,1 107,6 140,7 138,9 1 338,6
Source : « Fiche 19164001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Peyrelevade est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37 %), prairies (26,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %), terres arables (2,3 %), zones humides intérieures (2,1 %), zones urbanisées (1,5 %), eaux continentales[Note 2] (1 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Tourbière de Rebière-Nègre[modifier | modifier le code]

Au sud-ouest du village, sur les bords de la Vienne, se trouve la tourbière de Rebière-Nègre. En 1974, une chaussée fut construit formant un barrage et créant ainsi le plan d'eau communal de près de 10 ha. Ce barrage n'était pas réglementaire puisqu'il bloquait le transit des sédiments et des poissons; il fut effacé vers l'an 2020, entrainant la reconversion du lac en tourbière[13].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Peyrelevade est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Chandouille et la Vienne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[16],[14]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Vézère », approuvé le [17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Peyrelevade.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 15,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 520 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 10 sont en aléa moyen ou fort, soit 2 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 3] situé en Corrèze et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[21]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Peyrelevade est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune est la francisation de l'occitan Peira Levada (prononcé peïro lévado) qui désigne une « pierre levée ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution française, Peyrelevade faisait partie de la province du Bas Limousin à la frontière avec la province de La Marche[24]. Sur le plan ecclésiastique, la paroisse appartenait au diocèse de Limoges.

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Comps, appelée également « La Grande-Paroisse »[24], était une ancienne commanderie attestée depuis 1308 qui fut rattachée à la commanderie de Féniers au sein du grand prieuré d'Auvergne[25].

XIXe – XXe siècles[modifier | modifier le code]

Par une loi promulguée le , les villages de Comps et de La Ganne sont réunis à la commune de Peyrelevade[26].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La commune a une tradition d'accueil de réfugiés. Dans les années 1980, des Cambodgiens fuyant les Khmers rouges puis des Kurdes sont arrivés au village. En , un centre d'accueil pour demandeurs d'asile d'une capacité de 70 personnes hébergées ouvre dans la commune[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1795 Léonard Mandon    
1795 1800 Léonard Breton    
1800 1803 Joseph Plazanet    
1803 1805 François Plazanet    
1805 1816 Ambroise Plazanet    
1816 1830 François Breton    
1831 1843 Ambroise Plazanet    
1843 1844 Jean-baptiste Audouze    
1844 1853 Pierre Rousseau    
1853 1878 Jean-baptiste Hippolite Achille Arfeuillère    
1878 1886 Jean Alfred Lepetit    
1886 1888 Antoine Orluc    
1888 1890 Annet Pouloux    
1890 1892 Antoine Orluc    
1892 1895 Léonard Pierre François Marie Philippe Rousseau    
1895 1896 Antoine Orluc    
1896 1904 Annet Pouloux    
1904 ? Pierre Henri Bayle    
1935 1939 Armet Pouloux
(1885-1959)[29]
PCF Président du Comité local de Libération (1944-1945)
1953 1971 Ernest Coutaud SFIO Conseiller général
1971 1972 Andrée Faury PS  
1972 1999 Bernard Coutaud PS Cadre EDF, conseiller général
1999 2004 Gilberte Chavastelon PS  
2004 En cours Pierre Coutaud
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVG[27] Ancien conseiller général
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31]. En 2021, la commune comptait 828 habitants[Note 4], en augmentation de 3,63 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4351 2881 4871 5621 5131 7281 7551 9662 036
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9361 9291 8631 9702 0292 0652 0442 2102 118
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2312 0051 9131 6051 5601 4411 5241 0771 026
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 0401 1811 4181 1191 012830806838819
2014 2019 2021 - - - - - -
797830828------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Les éoliennes de Gentioux-Peyrelevade.[modifier | modifier le code]

Éoliennes de Gentioux-Peyrelevade.

Mises en service en , ces six éoliennes sont situées près du village de Neuvialle à mi-chemin entre Pigerolles et Peyrelevade. Premières éoliennes de la région Limousin, visibles à plus de 30 km, leur exemple semble intéresser certaines autres communes du parc naturel régional de Millevaches en Limousin, notamment dans les régions de Meymac et de Treignac.

Ces implantations sont très controversées en raison du faible potentiel éolien de la région Limousin en général, et du caractère exceptionnel des paysages du plateau de Millevaches. Les opposants à ces projets craignent en effet un « mitage » du paysage du Parc par des implantations anarchiques d'éoliennes, qui pourraient, à terme, nuire au développement du tourisme dans cette région.

Échanges avec le Québec[modifier | modifier le code]

Des Québécois célèbres y séjournèrent en 2002 : Yvon Leclerc, alors président de l'Association des centres locaux de développement et Pierre Drapeau, tous deux en « mission » dans le contexte d'une exploration portant sur le développement local. Ils étaient accompagnés de Bernard Denereux, qui devint ultérieurement président de la Fédération québécoise des municipalités, et de Marie-Joëlle Brassard, qui laisse sa marque dans le mouvement coopératif québécois.[réf. nécessaire]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La chapelle du Rat[modifier | modifier le code]

La chapelle du Rat.

Cette petite chapelle, datant du XVIIe siècle est installée sur un sommet à proximité de mégalithes naturels.

Près de la croix, on a un très large point de vue vers Gentioux. La chapelle du Rat était le lieu d'une bénédiction des chiens, le jour de la Saint-Roch. Le chemin de croix, dont il ne reste que quelques croix, a été indulgencié par l'un des papes limousins au XIVe siècle.

Ferme de Drouillat[modifier | modifier le code]

Drouillat - Corps de ferme.

Elle est construite au cours du XIXe siècle (1840 puis 1860). Sa disposition est caractéristique des fermes de haute Corrèze[35].

Elle est classée à ce titre comme monument historique depuis 1992[36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Tourisme et loisirs[modifier | modifier le code]

L'aérodrome[modifier | modifier le code]

Construit par la commune motivée par la passion du fondateur de l'Aéroclub, René Dambon, dont l'aérodrome porte désormais le nom. Il est géré par l'association les Ailes Peyrelevadoises. La piste, entretenue avec la contribution du lycée des travaux publics d'Égletons est une piste 16-34.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[20].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Station Météo-France commune d'Argentat-sur-Dordogne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France commune d'Peyrelevade) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Une étude scientifique pour suivre le fonctionnement hydrologique de la… », sur conservatoirelimousin.com (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Peyrelevade », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « PPRI Vézère », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Peyrelevade », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Article R214-112 du code de l’environnement
  21. « barrage de Monceaux la Virole », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. a et b Antoine Thomas, Le Comté de la Marche et le parlement de Poitiers, Slatkine, , 2e éd., 314 p. (présentation en ligne), p. XLIII.
  25. Jacques Baudoin, Croix de Corrèze, CREER, , 151 p. (présentation en ligne), p. 17-18
    L'auteur prend sa source chez Jean-Baptiste Poulbrière, Dictionnaire historique et archéologique des paroisses du diocèse de Tulle, t. 2, , 2e éd., p. 395 mais l'origine templière de la paroisse de Comps n'est pas certaine et Féniers a été fondée par les Hospitaliers.
    .
  26. Claude Motte, Paroisses et communes de France : Dictionnaire d'histoire administrative et démographique : Corrèze, vol. 19, C.N.R.S, (présentation en ligne), p. 265.
  27. a et b Corinne Binesti, « Peyrelevade, un village français qui tend la main aux migrants (2/2) », Info migrants, 12 décembre 2017.
  28. « Les maires de Peyrelevade », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  29. https://maitron.fr/spip.php?article127181, notice POULOUX Armet, Marie, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Eglise paroissiale Saint-Pierre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  35. Notice officielle MH Ferme de Drouillat.
  36. « Ferme de Drouillat », notice no PA00099977, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.